❧Faceclaim : Toni Mahfud
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❧Nom : Je suis né en des temps où les noms n’étaient que murmures jetés aux vents des dunes. Rien que des échos de ces histoires, de ces familles dont ils étaient les souvenirs vivaces. Tehrani est celui que je me suis choisi quand le monde fut devenu si fou et froid que la parole d’un être ne suffisait plus à prouver son identité et que les passeports devinrent le sésame essentiel aux gens qui, comme moi, voyagent. Tehrani parce qu’il me rappelle, un peu sans que cela en devienne douloureux, ces temps et ces terres depuis longtemps ensevelis où j’étais. Humain. Mortel.

❧Prénom(s) : Le roi. Le faucon de Barbarie.  Voilà ce qui se cache derrière ce prénom, Shahin, que je porte depuis le tout premier jour. Il est aussi la seule vérité que je conserve, d’une existence à une autre, d’un voyage à un autre.

❧Date & Lieu de Naissance : Pourquoi chercher ce qui ne peut se trouver ?  Je ne suis pas de votre époque où le temps est devenu si essentiel qu’on le craint et le déteste. Je suis de ces terres que vos pieds ont piétinées au lieu de les fouler. Je suis né. J’ai braillé et respiré. J’ai eu peur de perdre mes raisons de rire. Et quand je pensais mourir… le sang que les miens perdaient je m’en suis nourri. Et au lieu du froid de la mort c’est le feu de la vie qui me fut offert. Ma date de naissance ? Celle de la première étincelle. Si ancienne qu’elle remonte à bien avant même la naissance de tous vos faux prophètes ! Où ? Là où les miens sont morts mais où le monde, lui, est né.

❧Age : Bien trop de siècles pour que cela m’importe encore. Bien plus que la majorité d’entre vous n’en vivrez. Mortels, créatures et même déités… vous commettez tous les mêmes péchés. Vous n’êtes que sentiments et émotions. Vous êtes les seuls artisans de votre fin. La haine ou l’amour… L’envie ou l’ambition… La peur et la joie… Je n’éprouve plus que trop rarement ces choses pour en souffrir. La Mort n’a plus d’emprise sur moi. Mais cela a un prix : la solitude. Et, oui, parfois elle me pèse.

❧Nationalité : Américaine puis c’est sur ce sol que je demeure pour l’instant. Sur ces terres où nul ne m’a invoqué mais où je sais être ma place. Car c’est là, à Dark Falls qu’ils se sont tous, consciemment ou pas, décidés à venir. C’est là que le vent commence à se lever. Et, oui, c’est aussi là que demain ça arrivera.

❧Origines : Mes chairs sont perses, elles sont nées du sable se sont tannées au soleil et au vent. Mais mon âme, elle, est revenue de ces endroits d’où nul n’est censé revenir. Mes origines ? Mais en quoi cela est-il si important ? En rien, je vous l’assure.

❧Métier/Etudes : L’histoire, celle que vous vous glorifiez d’enfermer dans les pages si rarement lues de vos livres, moi je l’ai vue s’écrire. Depuis l’aube de ce que vous osez nommer civilisation. En passant par ses plus lumineux ou carmins chapitres. Et quand sur les cendres encore chaudes de votre civilisation une autre se lèvera, je serai encore là. A enseigner des sciences que j’ai vu, lentement, se découvrir et se construire. A partager mon amour immense de ces langues et de ces cultures que je sais être chanceux d’avoir pu connaitre avant que de les pleurer quand la bêtise et la crasse ambition des humains comme des dieux les ont, toutes, menées à leur perte ! Je suis professeur des écoles. Et seuls les enfants m’importent. Eux qui ignorent les frontières et peuvent encore être aidés, accompagnés. Dans l’espoir que, demain, ils ne reproduisent pas les erreurs de leurs aînés.

❧Orientation Sexuelle : J’ai aimé les femmes et plus encore la mienne dans ces trop courtes années où j’étais réellement un humain. Ensemble, nous avons même eu deux fils. Et je sais qu’eux ont eu la chance de vivre, d’écrire leurs propres chapitres de l’histoire de notre famille. Celle qui, aujourd’hui encore, s’écrit. Les âmes ont voyagé, les sangs se sont mêlés et si je ne comprends plus guère ce monde où je n’ai plus ma place que par erreur je suis fier de ma lignée. Et peu m’importe bien que depuis que le feu est venu embraser mes chairs celles-ci n’aient plus le moindre besoin ni surtout la moindre envie de se donner ou de se consumer à d’autres. L'asexualité ne fut pas mon choix mais l’évidence de mq nouvelle nature. Et si je passais des siècles à tenter de lutter en vain je sais aujourd’hui que c’est ce que je suis. Et c’est fort bien ainsi.

❧Situation amoureuse :  Tout comme est mort mon amour des plaisirs charnels je n’ai plus en mon cœur ni en mon âme le moindre espace pour un sentiment amoureux que je peine seulement à encore comprendre. Je me souviens de ces moments où l’homme sentait son cœur battre la plus folle des chamades pour celle qui l’avait séduit. Pour elle l’homme fut passionné et d’un romantisme aujourd’hui sûrement considéré comme éculé quand on ne le trouve pas idiot. Oui, l’homme a désiré et aimé. Le Djinn, lui, est aromantique. Trouve son bonheur dans ces liens bien aussi forts, solides et profonds que sont l’amitié et … la famille. Oh ! Aurais-je omis de dire que ma descendance humaine ou presque se trouve elle aussi en ville ? Que ferais-je d’un amour au sens commun du terme quand je suis riche de tellement plus et de tellement mieux ?

❧Univers : La Perse, l'Orient et ces mille et un contes et légendes.

❧Nature : Je suis Ifrit. Le dernier des Djinns de mon espèce. Celui qui, naquit dans le sang du crime et puisa dans celui-ci la force d’accueillir en mes chairs le feu. Celui du désert. Celui du Sheitan diront certains. Celui du… Mais que vous importe à la fin ! Je suis un esprit, un génie, un Djinn. Ifrit est mon nom mais, jamais, vous ne l’apprendrez de mes lèvres. Car le prononcer c’est m’invoquer. Et je n’aime pas l’être. La servitude, même éphémère, est une chose que j’ai trop souvent combattue pour supporter, autrement que dans la douleur, d’en porter le collier. Ne vous trompez surtout pas sur ma nature ! Accorder des vœux ne doit jamais vous faire perdre de vue ce fus, suis et serai à jamais : un soldat. Non. Un assassin.

❧Pouvoirs/Talents :

Pas de lampe ni de chaînes ou bracelets dorés à mes poignets mais je suis en effet un g.é.n.i.e. Et qui m’invoque peut exiger de moi la réalisation d’un vœu. Non, les films de Disney ne disent pas la vérité ! Et je les maudis pour avoir si bien pollué les imaginations des humains. Alors, soyons bien clair : je ne ressuscite personne, je ne transforme personne en génie ou en mage --les gens sont fous savent-ils seulement ce qu’ils demandent ? -- et l’amour n’est pas non plus de mon ressort. Mais, pour le reste, il n’est pour ainsi dire rien que je ne puisse accomplir, faire ou offrir. Humains, créatures ou déités tous m’ont un jour invoqué. Certains en payant encore aujourd’hui le prix. Tout a un prix et celui de mes services est des plus élevés. Réfléchissez toujours avant que de souhaiter quoique ce soit. Vous pourriez bien être exaucé.

Il brûle dans mes chairs, m’est tout aussi essentiel que ne vous l’est l’oxygène. Le feu est mon cœur. Et la p.y.r.o.k.y.n.é.s.i.e mon second talent. De mes mains il naît et s’embrase, virevolte au gré de mes envies, besoins ou humeurs. Il émerveille, réchauffe ou déchiquète et dévore. Il est vie et mort. Il est à mon image.

❧ Hubris :

Djinn est ma nature. L' i.m.m.o.r.t.a.l.i.t.é est le premier de mes fardeaux. Et ne vous avisez pas de seulement envier ce qui ne saurait l’être ! Jamais mon âme ne trouvera le repos. Jamais elle ne pourra reposer auprès de celles de ces êtres que j’ai aimés, appréciés mais qui, toujours finissent par périr. Même les déités meurent ! Moi, non. Telle est ma malédiction. Non, ma punition pour chacun de ces crimes que j’ai commis sans jamais en éprouver le plus petit remords. Pour ce péché, surtout, que je ne saurais ni ne pourrais jamais expier. Je le sais. J’ai scellé mon sort, suis le seul responsable de mon malheur. Mais, même en sachant cela, je n’agirais pas autrement. Et, même, pour les protéger eux, je suis prêt à recommencer. Je vais recommencer. Qui, eux ? Ecoutez ! Le vent vous a répondu !

Si l’air est mon meilleur allié il est très loin d’en aller de même pour les deux autres des éléments. Si la T.e.r.r.e et mon feu peuvent si bien rivaliser que nos puissances s’annulent souvent l' E.a.u est évidemment mon ennemie désignée ! Et si en boire ou me laver ne me provoquera jamais que picotements, la pluie déjà m’est problème. Elle transperce mon derme, vient fondre sur mes flammes à menacer de les éteindre de leurs étreintes délavées. L’océan ? Il ne me tuera pas, nul ni rien ne le peut, mais il est des choses bien pires que la mort. Et pour moi une immersion prolongée est pire que toutes les morts !


❧Phobie : Souvenirs encore bien trop prégnants de ces instants où l’obscurité fut mon seul horizon. Où la roche fut, elle, ma seule compagne. Je suis c.l.a.u.s.t.r.o.p.h.o.b.e et je vous déconseille amicalement de ne pas l’oublier. Pourquoi ? La dernière fois que je me suis retrouvé enfermé dans une pièce pourtant bien grande, j’en suis finalement sorti… mais n’ai laissé dans mon sillage que chairs brûlées reposant au milieu des décombres.

❧ taiseux parler, brasser des mots qui n’ont le plus souvent pas de sens, cela ne me ressemble pas. La parole est d’argent mais le silence est d’or, n’est-ce pas ? Mes mots, eux, ont un sens et un poids. Et aucun ne franchit jamais la barrière de mes lèvres sans avoir été soigneusement pensé, choisi et soupesé.

❧ sanguin… voir sanglant et sanguinolent si les circonstances, ou mes humeurs parfois bien moins raisonnables que mes mots, ne l’emportent. Sans doute des relents d’une nature assassine que je m’amuse presque à retrouver dans chacune de mes vies.

❧ rusé voir roublard comme le renard du désert que je fus, l’assassin que je devins et le génie que je suis. La fin justifie les moyens, absolument. Pourquoi, cependant, voire de la malice où n’y en a aucune. Ou si peu. Ou rarement. Et pourquoi justifier ce qui n’est au final qu’un instinct de survie poli au fil des siècles ? Et, oui, pour vaincre ou survivre il faut parfois se montrer manipulateur. Quiconque affirmant le contraire est un fieffé menteur ! Ce que, aussi et si cela va dans le sens de mes intérêts, je suis aussi. Bien évidemment !

❧ solitaire je connais trop le goût amer et indélébile de la trahison pout encore l’infliger. Mes ennemis ne méritent au mieux que mon indifférence au pire que la mort. Quant aux autres... ils ne m’intéressent en rien. La solitude est pesante mais elle évite bien des tracas. La désillusion. La déception. Être trahi. Trahir. Je fuis les êtres mais n’y parvient jamais réellement. Sans doute des ultimes relents de mon humanité perdue. Ceux que l’on ne peut jamais parfaitement gommer.

❧ loyal Et, oui, mon âme solitaire se surprend autant que se maudit à apprécier la compagnie de ces étoiles sombres que j’ai, bien malgré moi je le jure, laissé entrer dans mon existence. Ils sont peu nombreux mais ont gagné ma plus totale loyauté. Et si j’ai bien des défauts je ne renie jamais ma promesse.  

❧ possessif étonnant ? Pour ceux que la possessivité ne relève que du domaine amoureux, oui. Mais pas pour moi. Je suis d’une jalousie et d’une possessivité maladives envers les personnes de ma vie. Les femmes plus encore.  Un peu machiste aussi, je le crains. A moins que ce ne soit ces dames en question qui soient si douées pour se choisir les pires des compagnons ou des coups de cœur que je me dis parfois que les enfermer à triple tour dans une tour ou une caverne pourrait avoir du bon ! Cette anecdote, ô combien véridique ceci dit, mise à part il est vrai que je suis si protecteur que j’en deviens vite étouffant. Demandez à Hécate ! Elle est intarissable sur le sujet… il faut dire qu’elle et moi nous connaissons bien assez pour pouvoir nous cerner, nous deviner et plus encore… Digression inutile, passons.

❧ rancunier… encore un travers humain… ou pas ! N’est-ce pas dans la Bible qu’est inscrite cette magnifique phrase « Œil pour œil et dent pour dent » La Loi du Talion est parfaite et me résume si bien ! Même si… en réalité… en ce qui me concerne il serait plus juste de dire « Arrache-moi un œil je te crèverai les deux. Arrache-moi une dent je viderai ta gueule de toutes les tiennes ! Et, après t’avoir dépecé vif je laisserai mon feu lécher à les en dissoudre tes chairs de chien ! ». Pacifiste, moi ? La plupart du temps. Mais pour qui connaît le désert et ses tempêtes de sable alors il est évident qu’avec moi la méfiance est de mise. Toujours.

❧ #1 je vis sans vivre. Mon cœur bat, palpite sans jamais battre la chamade mais peut parfois se serrer à en saigner. En mes veines ruissèle souvent à en rugir ce sang qui coulera si jamais vous parveniez à me blesser. Mais, malgré cela, je ne suis pas en vie. Aucune balle n’aura jamais raison de moi. Aucun poison non plus. Et quand bien même vous parviendriez à avoir l’illusion de vous être débarrassé de moi il n’en sera jamais rien. Le feu éternel m'habite. Je suis pareil au phénix. Je renais toujours de mes cendres. Les cendres… celles dont j’ai le goût en bouche quand je m’entête à vouloir manger comme ces humains dont je ne fais plus partie depuis longtemps. Manger, boire et même dormir me sont désormais inutiles. Les gens me voient comme un humain, l’un des leurs quand je n’en aurais jamais plus que les apparences. Et hormis deux personnes nul n’a jamais vu ni ne verra jamais le vrai visage sous le masque humain. Non, personne ne doit voir le monstre.

❧ #2 ce n’est un secret pour personne je n’aime pas ce monde moderne dans lequel je suis plus prisonnier que je ne le serais dans n’importe quelle lampe à huile ! Je ne reconnais aucune de ces valeurs qui, jadis, faisaient des humains des gens bien.  Ou non, d’ailleurs. Je n’ai pas de repères dans ce monde où tout va trop vite, où l’égoïsme est devenu souverain et où les guerres bien qu’en apparences moins sanglantes se font plus meurtrières encore. Avant on se combattait pour des idéaux, par amour ou pour ces questions d’honneur souvent fort mal placé il est vrai. Aujourd’hui tout n’est plus que profit et ambition. Je hais la modernité mais, paradoxalement, j’en adore les plus futiles outils. Les ordinateurs, tablettes, smartphones et autres gadgets connectés me fascinent. Et, oui, il m’est arrivé de passer plusieurs jours d’affilée sur un jeu vidéo. L’avantage de ne pas avoir besoin de dormir !

❧ #3  je fus un assassin. Et quand bien même je sais que j’étais, du moins au début, motivé par les plus nobles et même pieuses des intentions il n’en reste pas moins que j’ai blessé, torturé et bien évidemment tué sans jamais en trembler. Et tout ce que mes maîtres d’alors m’ont enseigné je m’en souviens. Je n’aime pas la violence pour la violence. Mais je n’hésiterai jamais à en user s’il le faut. Mais, que cela soit dit, je ne combats pas à la loyale. L’honneur dans un combat n’a pas de sens et ne mène généralement qu’à la mort la plus stupide qui soit ! Je suis un prédateur. De ceux qui étudient leur cible parfois pendant des mois avant que de déterminer la meilleure manière et le moment le plus opportun pour fondre sur elles et les achever. Nuque brisée, foie perforé… si vous saviez les mille et un délices que compte ma carte des supplices vous en seriez sûrement effrayés.  A mains nues, armes blanches ou à feu, poison… j’ai eu des millénaires pour parfaire mon art. Car, que vous le compreniez ou non, ôter la vie, recueillir un dernier souffle est un art. Sanglant ou, parfois, empli de compassion.

❧ #4 les religions, tout comme l’ensemble des panthéons, me révulsent. Qu’il se conjugue au singulier ou au pluriel Dieu et ses avatars me répugnent ! Eux qui ne se sont jamais préoccupés que de leurs intérêts, ont écrasé de leur supériorité et de leurs magies ces peuples qui ont eu la sottise de les louer, de les prier. Je hais les religions ! Pour ces guerres livrées en leurs noms ! Pour ces horreurs commises sous leurs règnes ! Je maudis les déités pour n’être jamais que des parangons d’hypocrisie, de suffisance et de bêtise ! J’ai cru. Si fort ! J’ai cru. Et le prix de ma Foi fut si élevé que j’en pleure encore. Aujourd’hui je ne crois plus. Et si je m’abstiens de fréquenter ces monstres je les attire visiblement bien trop. Les déités me cernent. Je ne dis rien, observe ces monstruosités qui ironie de l’histoire parfois s’ignorent. J’observe et me retiens pour l’instant d’agir. Mais pour l’instant seulement. L’heure n’est pas encore venue. Bientôt… Bientôt, oui.

❧ #5 mon corps est presque entièrement recouvert de ces glyphes que les ignorants heureux prennent, certes logiquement, pour des tatouages. Mais il n’en est rien. Ces arabesques, ces dessins pas aussi abstraits qu’on pourrait le penser, se sont gravés à mes chairs sans que jamais la moindre aiguille ne touche mon derme impur. Ils sont ces emblèmes, ces incantations tracées pour ne pas oublier qu’elles ne doivent jamais être ne serait-ce que murmurées.  Mes glyphes sont ma mémoire, l’armure du djinn.

❧ #6  Je possède un faucon. Ceux qui connaissent le sens de mon prénom ne s’en étonneront évidemment pas. En revanche, tous tomberaient des nues s’ils venaient à découvrir que ce noble sir est aussi âgé que je puis l’être. Si j’étais un sorcier on dirait de lui qu’il est mon familier. Mais comme je suis djinn et que je ne suis pas du genre à me dévoiler plus que de raison je ne vous dirais rien. La petite Finley, elle, pourrait éventuellement comprendre. Mais je crains fort qu’elle n’en ait pas le temps. Dommage. Je l’aime bien cette gosse.

❧  Anecdotes. Phobies. Les points principaux à savoir... Autant que vous voulez.