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Finley || All I want to do is be more like me and be less like you
Finley Bloodsworth
Finley Bloodsworth
La Déesse qui préfère les poubelles aux palaces

Finley Doyle
plop
« I'd rather die my way than live yours »



It's starts with one thing, I don't know why

❧Faceclaim : Sophia Lillis
❧Crédits : gifs Tumblr

❧Nom :  Son père disait toujours, mais jamais sérieusement, qu’ils tenaient leur nom Doyle du fameux père de Sherlock Holmes. Cela agaçait sa mère mais la faisait rêver, elle. Aujourd’hui… aujourd’hui Finley se demande si ce nom était vraiment le leur. Ou s'il ne serait pas celui choisi par son père. Pourquoi aurait il fait cela ? Pourquoi mentir sur son identité ? Et pourquoi disparaître ? Rien n’était logique mais rien n’est jamais impossible non plus. Donc… pourquoi pas ?

❧Prénom(s) : Oui, son prénom est aussi bien masculin que féminin ! Quand on ne sait pas, et avant de l’ouvrir pour dire d’énormes bêtises, on se renseigne et on s'éduque ! Finley est son prénom et même si là aussi la jeune demoiselle est persuadée qu’il n’est qu’un mensonge elle l’aime son prénom. Son second prénom ? Un prénom étranger… Gersimi… Elle ne sait pas d’où cela vient. Ah si… elle aurait dû avoir une sœur aînée. Mais celle-ci était décédée deux ans avant sa naissance. C’était son prénom. C’est en son hommage qu’elle aime parfois à le prononcer aujourd’hui encore.

❧Date & Lieu de Naissance : 31 octobre par une nuit où l’on se grime pour mieux s’effrayer dans un éclat de rire et sous une pluie de friandises. Stockholm par accident et si loin de cette ville de Dublin où Finley se souvient d’avoir grandi avant la disparition de son père. Avant le premier remariage de sa mère et leur installation à New York. Avant, quoi.

❧Age : Si elle vous dit qu’elle l’ignore ? Vous penserez qu’elle ment ? Pourtant, et pour une fois, la demoiselle dirait vrai. Quand sa si charmante mère l’a jetée hors de ses murs elle n’a pas jugé bon de lui fournir le moindre papier. Et ceux qu’elle possède Finley les a achetés. À un prix bien trop élevé pour qu’elle veuille s’en souvenir. Et cette date de naissance qui fait d’elle une majeure est fausse. Son âge ? Quelque part entre quinze  et dix-huit ans ?

❧Nationalité :  Américaine, ce sont ses faux papiers qui le disent ! Mais, elle le sait, elle est d’ailleurs. D’où ? Bonne question. Excellente question, même !

❧Origines : Inconnues Finley dirait bien oniriques tant elle demeure persuadée que c’est dans ses rêves qu’elle trouvera ses réponses. Ou qu’elle se fera dévorer ? C’est fort probable aussi.

❧Métier/Etudes : Des études, Finley aurait adoré en faire même si un soupçon de vanité lui fait prétendre le contraire. Elle sait même ce qu’elle aurait souhaité faire, devenir. Dans ses rêves les plus fous Finley se voit pianiste concertiste. Elle se voit partager avec ces gens auxquels elle a souvent tant de mal à parler tout ce qui tournoie en elle. Ces pensées et ces émotions qu’elle dessine à coup de notes à défaut de pouvoir y mettre le moindre mot. Mais ce n’est qu’une utopie et cela fait longtemps que la jeune femme ne se fait pas d’illusions. Elle ne sera jamais pianiste. Pas d’amertume juste un soupçon de tristesse. En attendant d’être majeure, d’avoir enfin trouvé sa place et sa raison de vivre Finley prend ce qu’on lui propose. Parfois femme de ménage, parfois la plonge… parfois… autre chose. Mais ne parlons pas des choses qui fâchent et font pleurer.

❧Orientation Sexuelle : Elle a peur de ces rapports-là. Ça fait mal. Trop mal. Femme ou homme est-ce-que cela change quoique ce soit à la question ? Finley aimerait aimer avec son cœur, son esprit et son âme avant que d’offrir son corps à une caresse qui, cette-fois, serait douceur et tendresse. Aimer, pleinement en somme.

❧Situation amoureuse :  soupirs qui traînent parfois bien trop. L’éclat d’un regard qui, à la dérobée, glisse vers un autre. Et l’impression que son cœur se serre à en saigner à une seconde pour mieux exploser de langueur à la suivante. Se maudire de sentir ses joues rosir quand il est là. Se désespérer de retrouver sa présence rassurante quand il n’est pas là. Et surtout… la simplicité des choses, la beauté d’un silence jamais pesant. C’est ça aimer ? Alors, oui, possible qu’elle soit amoureuse. Possible, oui.


❧Univers : mythologie nordique

❧Nature : Quelle ironie cruelle que de se penser, si pleinement que cela en devient banal et ennuyeux, humaine quand c’est dans la plus divine des étoffes que l’on a été emmaillotée ! Finley regrette parfois d’être une pousse de femme banale ? Pas vraiment certain qu’elle préféra se découvrir enfant de dieux. Freya était sa mère, Ód son père. Elle est Hnoss. Le trésor. Du reste de sa nature Finley devra tout découvrir. Vous aussi !

❧Pouvoirs/Talents :  

#1 les r.ê.v.e.s Finley rêve… ou du moins est-ce ce qu’elle pense. Préfère encore se raconter pour ne pas perdre la raison en affrontant sa vérité. Elle ne rêve pas, mais se projette dans cet autre monde. Celui où le passé murmure au vent, où le présent s’esquisse et où l’avenir se murmure à ses tympans et se déroule sous ses yeux. Elle est à la croisée des mondes, des temps et des possibles. Il y a sans doute une raison. Pour l’instant elle ne la  comprend pas. Et elle ne veut pas la comprendre. Même si elle n’en aura, évidemment, pas le choix.

#2 t.é.l.é.k.i.n.é.s.i.e Du style le plus horripilant qui soit. Elle ne se maîtrise pas, ne se jugule pas non plus et a le mauvais goût de se déclencher uniquement lorsque les émotions se font violence et orage. Alors les vitrines explosent, les sols tremblent et … Finley tremble de peur. Elle a peur de ce qui se passe. Elle est terrifiée à l’idée d’en être la cause. Elle préfèrerait mourir que de faire du mal même à un moucheron !

#3 f.a.m.i.l.i.e.r au début elle le prenait pour l’une de ces illusions qui surgissent au détour de l’un de ses rêves éveillés. Un loup au pelage aussi immaculé que ses yeux luisent du plus carmin des éclats. Mais elle apprend, commence à entrevoir sans toutefois encore réellement comprendre. Il est à elle si ce n’est même une part d’elle-même. Il est son gardien. Non, leur gardien ! Car, pour une raison inconnue mais dont la déesse qui s’ignore se félicite, le loup veille sur Elijah. Ils les protégera toujours l’un et l’autre. Comme si… chut ! Ça c’est une autre histoire !

❧ Hubris :
#1 h.é.m.o.p.h.i.l.i.e maladie plutôt rare chez les êtres de son sexe mais cela fait bien longtemps que Finley ne croit plus à sa chance. Elle sait que toute coupure ou plaie trop profonde pourrait lui être fatale mais, même si elle se montre évidemment prudente, elle refuse de vivre dans la psychose d’un pire qui n’arrivera sans doutes jamais.

#2 a.l.l.e.r.g.i.e aux piqûres de guêpes. Une seule fois elle a été piquée et a bien manqué en mourir. Autant dire que, depuis, elle les évite ces petites garces !

#3 f.e.u elle rêve souvent de lui. Il est affamé, il la dévore elle aussi. Finley en mettrait sa main au feu : elle périra rongée par les flammes.

❧Phobie : m.u.s.o.p.h.o.b.i.e les souris et les rats. Tous ces animaux aux longues queues et aux dents avides de tout déchirer, déchiqueter.  . Ceux au milieu desquels elle a parfois vécu. Avant qu’elle n’arrive à Dark Falls. A une époque où … peu importe. Finley a une peur bleue de ces bestioles. Au point d’en être tétanisée. Au point parfois d’en tourner de l’œil. Les souvenirs, surtout les pires, sont tenaces. Mais pour vaincre sa peur ce sont eux que Finley devra tout d’abord enterrer.




What's in my head

débrouillarde à vivre dans la rue on en apprend vite la règle. La seule qui importe : la vie est une chienne, le monde une jungle et pour survivre il faut se faire prédateur sans pitié ou rusé. Finley n’est pas de la race des premiers, ne se bat que pour se défendre et abhorre une violence qu’elle a trop subi. Alors elle est devenue cet écureuil rusé qui, parfois, défie les lois des hommes mais respectent toujours celles de ces dieux auxquels elle préfère croire qu’imaginer qu’ils puissent exister vraiment. Si elle savait…

 méfiante non, ce n’est pas seulement le fait de devoir se protéger de la rue qui l’a rendue aussi suspicieuse. Finley en est même intimement persuadée : telle est sa nature profonde. La confiance ne se donne pas plus qu’elle se gagne. Elle se construit. Et, hormis Elijah pour qui les choses lui ont toujours semblé si évidentes qu’elle en a parfois peur, la petite rouquine se méfie de tout le monde.

 loyale plutôt être déçue d’avoir laissé sa confiance à une mauvaise adresse que d’être seule et l’âme aride. Plutôt être trahie qu’être celle qui plantera le couteau. Et puis, voilà une phrase qui ne devrait pas déplaire à bouclettes, donner c’est donner mais reprendrez c’est voler, non ? Finley donne rarement. Mais elle donne tout. Et ne reprend jamais. Et pour les rares êtres à lui être chers c’est sa vie qu’elle donnerait sans même y réfléchir. La loyauté est à son image : elle ne connaît pas les nuances

juste elle en a trop vu, trop subi aussi pour supporter de voir l’injustice frapper encore et encore ceux souvent trop démunis ou faibles pour se défendre. Elle sait trop à quel point il est dur de se retrouver du côté des outcasts. Du côté de ceux qui sont si peu, possèdent si peu qu’ils ne méritent pas même d’être entendus. Alors elle agit. Du haut de son mètre cinquante et de son tout petit gabarit. C’est peu, parfois dangereux mais… comme Finley aime à l’expliquer : ne rien faire c’est être coupable aussi !

colérique sa mère n’avait de cesse de le lui répéter : ses émotions étaient trop fortes elle devait les étouffer. Son père, lui, l’invitait au contraire à ne pas lutter, à se laisser porter par ces flots contre lesquels elle ne pouvait pas lutter. Parce qu’on ne peut pas étouffer sa nature. Ou jamais longtemps. Finley n’a jamais compris ce que tentaient visiblement de lui inculquer ses parents. Pas plus, d’ailleurs, qu’elle n’a réussi à décider lequel de ces conseils elle devait suivre. Finley est d’un tempérament doux mais, tout comme l’océan, les tempêtes se lèvent parfois si vite que même elle s’étonne de leur violence. Trop d’émotions retenues, trop de sentiments qu’elle peine à comprendre ou à découvrir… Trop de questions et pas assez de réponses. Finley ne contrôle rien et ses colères n’en sont jamais que les tonitruantes manifestations.

facétieuse parce que rire c’est oublier les ténèbres de son rêve. Parce que rire et s’amuser c’est embrasser pleinement la lumière de la vie. Parce que, non, jamais Finley ne consentira à être victime. Son arme à elle c’est son espièglerie, sa facétie, son rire enchanteur. Et ça lui va bien, non ?

 passionnée parce que, simplement et une fois encore, elle abhorre la demi-mesure.  Comment peut-on aimer juste un peu ? Comment peut-on prétendre détester à moitié ? Pourquoi faire les choses mais sans jamais réellement s’impliquer ou aller au bout ? Finley ne comprend pas, refuse cette conception des choses. Au mieux, et dans ses bons jours, elle pestera sur la paresse des gens. Au pire elle les traitera de lâches hypocrites ! De la race de ceux qui ferment les yeux devant l’horreur des injustices, de ceux qui collaborent plutôt que de prendre le risque de se rebeller. De ceux qui choisissent toujours la facilité. Ceux-là elle les méprise. Vraiment ! La passion est le feu à son âme et elle n’y renoncera jamais. Ceux qui le font ne sont que des ombres. Des morts qui se pensent encore vivants. Et, elle, elle veut vivre !

 altruiste n’exister que pour soi c’est se mentir à soi-même. C’est prétendre s’en foutre pour ne pas admettre crever de trouille de finir seul. Aimer son nombril c’est choisir de renoncer à tout ce qui fait l’intérêt d’une vie. C’est dans le regard des autres que l’on se découvre aussi. C’est dans leurs mots que l’on apprend et au travers de leurs maux que l’on se surprend à vouloir les aider. Leur tendre cette main que, peut-être, on aurait aimé pouvoir saisir aussi soi-même un jour. Donner sans même rien en attendre en retour c’est beau et c’est là la seule richesse. Donner de soi à autrui c’est l’espoir,  fou mais vital, qu’un jour cette personne en fera de même pour une autre. Cercle vertueux. Cycle de lumière. La lumière qui, Finley l’espère sans oser le dire, chassera un jour les ténèbres de son rêve. Il approche. Son rêve. Et il a faim. Très faim…



It doesn't even matter how hard you try


Elle est ce tout petit lutin que les gens de Dark Falls se sont déjà comme habitués à voir errer, ou plutôt sautiller quand elle ne se faufile pas, aux quatre coins de la ville. Certains, assez rares, la couvrent de ce regard empli d’une pitié dont la fourmi rousse n’a que faire. D’autres, bien plus nombreux, s'agacent et s’énervent de voir cette tornade rugir parmi eux. Trop libre. Trop incontrôlable. Trop… tout. Tous, aussi, la pensent sans domicile quand en réalité ses parents, ou plutôt sa mère et son dernier compagnon en date, vivent confortablement installés dans leur mignonnette villa des Hamptons. Finley n’a pas choisi de vivre ainsi. Elle n’a pas fugué. Elle a été chassée par cette mère qui, tout simplement, ne voulait plus s’encombrer d’une adolescente. Surtout d’une à la langue aussi piquante que ses manières, elles, sont inexistantes. Mais il est une chose que personne ou presque ne se demande à son sujet : comment une jeune fille peut-être survivre ainsi et dehors ?

Mélomane dotée d’une oreille absolue la jeune Finley aurait pu être de ces enfants prodiges qui émerveillent et fascinent dès qu’ils laissent leur don exploser. Mais, elle, c’est sa vie qui a explosé et depuis qu’elle fut jeté dehors par sa mère ses doigts n’ont plus jamais touché le moindre clavier. Et, oui, cela lui manque beaucoup.

 Trop méfiante et bien trop abîmée déjà par sa vie dehors elle ne supporte que très difficilement les contacts physiques. Le moindre effleurement la faisant au mieux se reculer, au pire hurler. Mais, et de façon diamétralement opposée, une fois sa confiance accordée… offerte, même, Finley devient un boulet de canon fonçant sur les êtres chers avec tout l’amour dont elle est emplie, capable sans encore savoir l’expliquer ou, surtout, l’exprimer. Câline à en devenir presque collante et étouffante la rouquine doit encore apprendre la mesure et la pondération. Ou pas.

 Elle n’entend rien à la littérature, sait compter même si elle déteste les mathématiques et toute autre science la petite boule d’énergie devient pourtant intarissable dès lors qu’il s’agit de parler de ses trois sujets préférés : les étoiles, la mythologie nordique et la mécanique ! Finley aime d’ailleurs à se moquer d’elle-même en arguant qu’elle n’est pas fichue d’éplucher correctement une carotte mais sait démonter et remonter n’importe quel moteur quasiment les yeux fermés et en tous cas bien plus vite que la majorité des mécanos professionnels ! Ce qu’elle ne confiera à personne, hormis Elijah, c’est que ces passions lui viennent de son père. Et que c’est aussi pour cela qu’elle les aime tant. Elles sont tout ce qui lui restent de celui qui a disparu la veille de ses onze ans. Il était venu l’embrasser dans sa chambre comme il le faisait chaque nuit. Ils avaient parlé, ri, projeté de passer la plus magique des journées le lendemain. C’était un jour très important lui avait-il murmuré sur le ton du secret. Il est parti. Avec son secret. Et le jour magique devint funeste.

 Fort peu à son aise avec ses semblables Finley n’a en revanche pas son pareil pour amadouer au point presque de les amadouer les plus sauvages d’entre eux. Elle s’est d’ailleurs prise d’affection pour une sorte de chien loup qui, tout comme elle, errait dans les coins les plus reculés de la ville. Un loser comme elle. Il apparaît toujours quand elle ne s’y attend pas, quand elle est seule et sans défense ou que ses larmes perlent à ses yeux si bleus. Il reste alors avec elle puis, comme un vrai songe doux et bienveillant, il s’évanouit encore plus vite qu’il n’était apparu. Finley pense parfois qu’il n’existe pas. Elle se trompe. Lui aussi est réel.

 Ce n’est certes jamais la meilleure des maladies –aucune ne l’est nous sommes bien d’accord-- à avoir mais elle devient carrément la pire quand, comme Finley on vit dans les rues. Dans ce dédale fait de barbelés, de tessons et autres choses qui déchirent les dermes et font couler le sang. Rien de grave, non… sauf pour elle. Elle qui est hémophile et pour qui la moindre coupure pourrait s’avérer fatale. Guère rassurant surtout quand on connaît le talent inné de la demoiselle pour s’attirer des ennuis… Juste au cas où… elle est A+. On ne sait jamais, ça pourrait servir un jour me dit-on dans l’oreillette.





©Moriartea

(#)Jeu 22 Oct - 3:27
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Finley Bloodsworth
Finley Bloodsworth
La Déesse qui préfère les poubelles aux palaces

Sometimes all it takes
plop
« is to share a smile »



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©Moriartea

(#)Jeu 22 Oct - 4:07
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Elijah A. Ashworth
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<3 (et en plus, Numb)
(#)Ven 23 Oct - 22:11
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Finley Bloodsworth
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La Déesse qui préfère les poubelles aux palaces
Oui, je l'ai choisie exprès et puis elle lui va si bien !  Finley || All I want to do is be more like me and be less like you  3509417994 Finley || All I want to do is be more like me and be less like you  3509417994 Finley || All I want to do is be more like me and be less like you  3509417994
(#)Dim 25 Oct - 11:56
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